Geophagus surinamensis

Geophagus surinamensis - (Bloch, 1791) - (Cichlidae) - Perle du Suriname

Synonymes

Sparus surinamensis - Bloch, 1791
Sparus trimaculatus - Shaw, 1809

Geophagus Heckel, 1840 - (genre)

Le genre Geophagus fait partie de la famille des Cichlidae. Géophagus est un genre regroupant 27 espèces d'écrites, et peut-être autant non encore décrites. Chacune des espèces décrites possède des variantes géographiques, plusieurs formes, suivant leurs localisations exactes dans leurs aires de répartition. Variantes qui influent donc sur les caractéristiques méristiques et les colorations. Parmi les espèces non-encore d'écrites, certaines étant probablement de simples variantes géographiques d'espèces déjà reconnues. Le genre Géophagus est endémique de l'Amérique du Sud, Geophagus altifrons étant l'espèce type du genre, celle qui a ouvert/créé ce taxon :

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Répartition géographique

Geophagus surinamensis est une espèce endémique de l'Amérique du Sud, qui ne se rencontre nulle part ailleurs. En effet, ce cichlidae peuple les eaux douces des rivières Saramacca et Suriname au Suriname ainsi que le fleuve Maroni au Suriname et en Guyane française.

Taille

Geophagus surinamensis est un poisson qui mesure une taille maximale comprise entre 20 et 25 centimètres.

Dimorphisme

Geophagus surinamensis est un cichlidae qui possède un dimorphisme touchant notamment la taille des spécimens adultes, plus grande chez les mâles.

Maintenance

Geophagus surinamensis est un cichlidae à maintenir dans une cuve d'une contenance minimale de 500 litres avec un pH compris entre 5,5 et 6,2. Le décor sera composé de racines et plantes en abondance et laissant une vaste plage de sable pour la nage. Cette espèce sera maintenue de préférence en compagnie d'espèces de tailles et provenances similaires.

Reproduction

Geophagus surinamensis est une espèce ovipare, qui pond des oeufs. Le couple est territorial et défend farouchement un territoire, au moins lors de la ponte, ou lors des promenades du frai, a la recherche de nourriture. En captivité, le plus souvent cantonné dans un coin de leur réservoir, ce territoire fixe sera farouchement défendu. En aquarium, les tout jeunes poissons seront nourris des poudres et paillettes lyophilisées traditionnelles, ainsi que de nourritures fraiches de type oeufs d'artémias décortiquées. Adapter toujours les proies en fonction de la taille de vos pensionnaires.